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Peinture | Photographie | Gravure | Dessins et plans | Histoire | Dix-neuvième siècle | Tableaux d'affichage | Professeurs des écoles | Salles de classe | Alessandro Volta (1745-1827) | Électricité | Méthane | Moyen âge | Châteaux-forts | Architecture | Silhouettes | Piles voltaïques | Savants italiens | Physiciens italiens | Campagne de Russie (1812) | ...
Char d'Ath. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc29b3-char-d-ath

Char d'Ath

Le Char de la Ville dans le cortège de la Ducasse d'Ath, 2006 : Le char de la Ville d'Ath, conçu en 1850, est le successeur du char de la Ville qui figurait dans la procession depuis 1715. La déesse de la ville siège dans un temple monoptère au-dessus des personnalités qui ont illustré l'histoire de la cité. On découvre ainsi : Jean Taisnier (1508-v.1562), musicien, astrologue et mathématicien ; Michel De Bay (1513-1589), professeur à l'Université de Louvain, théologien du Concile de Trente ; Juste Lipse (1547-1603), célèbre humaniste, élève du Collège d'Ath ; Jean Zuallart (1541-1634), mayeur (maire) d'Ath de 1584 à 1634, auteur d'une description de la ville, pèlerin de Jérusalem ; Jean III, baron de Trazegnies (v. 1470-1550), châtelain d'Ath de 1540 à 1550 ; Jacques de Fariaux (1627-1695), gouverneur militaire d'Ath de 1690 à 1695 ; Simon de Bauffe (1676-1738), ingénieur militaire au service de l'Autriche ; Louis Hennepin (né à Ath en 1626), explorateur du Mississippi qui a laissé un récit de ses voyages ; Eugène Defacqz (1797-1871), membre du Congrès national puis premier président de la Cour de cassation.

Chemin de fer Lyon - StEtienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b041e2-chemin-de-fer-lyon-stetienne

Chemin de fer Lyon - StEtienne

Quatre trains de la Ligne Saint-Étienne - Lyon : 1. train de voyageurs en traction équestre ; 2. train de marchandises en traction équestre ; 3. train de voyageurs en descente sans traction ; 4. train de houille, tiré par une locomotive du type d'avant de 1835. Le chemin de fer de Saint-Étienne à Lyon, par Saint-Chamond, Rive-de-Gier et Givors, fut incontestablement l'œuvre des frères Seguin, auxquels s'était joint Édouard Biot, le fils de Jean-Baptiste Biot, membre de l'Institut. Le père, savant physicien, devait d'ailleurs apporter un concours efficace dans les calculs du nivellement de la ligne. Les frères Seguin d'Annonay, ingénieurs civils et manufacturiers, formaient déjà une société patentée ayant pour objet toutes opérations industrielles. Marc, dit Seguin Aîné, était le chef écouté et suivi de cette association fraternelle où Camille, Jules, Paul et Charles apportaient une collaboration compétente (Jean Falaize, La Vie du Rail n° 1841, 29 avril 1982). Source : Activités des professeurs d'Histoire du lycée Claude Lebois à Saint-Chamond (42400, Loire), http://profshistoirelcl.canalblog.com/archives/2008/10/05/10855271.html

Concert dans la bergerie. Source : http://data.abuledu.org/URI/51190857-concert-dans-la-bergerie

Concert dans la bergerie

Concert dans la bergerie, 1862, par Wojciech Gerson (1831-1901) : peintre paysagiste polonais, représentant du réalisme, historien de l'art et professeur. Gerson travailla aussi comme architecte et critique d'art. Il est surtout connu pour ses peintures patriotiques, ses scènes rurales et ses paysages de montagne idylliques.

Cours à l'école de médecine au XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f106d-cous-a-l-ecole-de-medecine-au-xixeme-siecle

Cours à l'école de médecine au XIXème siècle

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.287 : manuel scolaire, édition de 1904. UN COURS A L'ECOLE DE MÉDECINE. - Les médecins doivent connaître le corps humain avec tous ses organes, qu'ils auront plus tard à soigner. Les professeurs montrent aux élèves sur les squelettes tous les os qui composent la charpente de notre corps. Dans la salle de dissection ils leur montrent les muscles et les nerfs. La science des diverses parties du corps s'appelle anatomie.

Cours d'anglais au tableau. Source : http://data.abuledu.org/URI/511e9b59-cours-d-anglais-au-tableau

Cours d'anglais au tableau

Cours d'anglais au tableau dans une classe de collège à Madagascar. Le Collège se nomme " Tsihoarana" qui signifie "Ce qu'on ne peut pas dépasser ou copier", il a été créé en 2006, les locaux sont loués. Le collège compte actuellement plus de 232 élèves venant des campagnes environnantes et souvent très éloignées. C'est un Collège d'expression française, toutes les matières sont en français sauf le malagasy (le malgache) et l'anglais, les cours sont assurés par 8 professeurs diplômés d'État.

Institutrice. Source : http://data.abuledu.org/URI/51cd9ccd-institutrice

Institutrice

Un instituteur ou une institutrice est, dans beaucoup de pays, une personne chargée d'enseigner dans les écoles auprès des jeunes enfants, notamment à l'école maternelle et à l'école élémentaire (école primaire). L'appellation traditionnelle pour les petites classes est « maître d'école ».

La maison du professeur Lidenbrock. Source : http://data.abuledu.org/URI/5280b192-la-maison-du-professeur-lidenbrock

La maison du professeur Lidenbrock

La maison du professeur Lidenbrock, illustration by Édouard Riou page 19 de "Voyage au centre de la Terre", 1864, de Jules Verne (1828-1905) : La vieille maison penchait un peu, il est vrai, et tendait le ventre aux passants ; elle portait son toit incliné sur l’oreille, comme la casquette d’un étudiant de la Tugendbund ; l’aplomb de ses lignes laissait à désirer ; mais, en somme, elle se tenait bien, grâce à un vieil orme vigoureusement encastré dans la façade, qui poussait au printemps ses bourgeons en fleurs à travers les vitraux des fenêtres.

Le Jardin du roi en 1636. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103e5d5-le-jardin-du-roi-en-1636

Le Jardin du roi en 1636

"Vue cavalière du Jardin du Roi", aquarelle de Frédéric Scalberge (1542-1640) : Source : Bibliothèque du Muséum national d'histoire naturelle. Publiée en frontispice de la "Description du Jardin royal des Plantes médicinales" par Guy de La Brosse, médecin ordinaire de Louis XIII et fondateur du Jardin des Plantes. Créé en 1635, le Jardin du roi présente dès le début le dessin général de l'actuel jardin. Il sera à la Révolution rebaptisé Jardin des plantes de Paris. C’est l’un des plus anciens organismes scientifiques officiels français puisqu’il a ouvert un siècle après le Collège royal (1530) mais avant l’Académie des sciences (1666) et l’Observatoire de Paris (1672). C’est dès 1633 que Guy de la Brosse (1586-1641), par son insistance auprès de Louis XIII dont il est le médecin, et grâce au soutien de Jean Héroard (1550-1628), et de Richelieu (1585-1642), obtient la création d’un jardin botanique à vocation médicale à Paris. Le roi acquiert un terrain dans ce que l'on appelle alors le faubourg St-Victor et de la Brosse commence les premiers travaux et ensemencements. Mais l’Édit qui l’instaure n’est publié qu’en 1635 et le jardin n’est officiellement inauguré qu’en 1640 sous le nom de Jardin royal des plantes médicinales. Le projet suscite de nombreuses oppositions notamment de la part de la faculté de médecine de l’Université de Paris qui y voit un concurrent à son propre enseignement, d’autant que les cours sont ouverts à tous et donnés non en latin, mais en français. Ce n’est pas la seule nouveauté : certains sujets, comme la circulation du sang, y sont enseignés alors qu’ils sont encore critiqués par la faculté. Des enseignants viennent de l’Université de Montpellier, grande rivale de l’Université de Paris. Pour apaiser un peu les tensions, Louis XIII décide d’autoriser l’enseignement mais ne permet pas au Jardin d’y dispenser de diplômes, et le Jardin ne comptera, à la Révolution, que trois postes de professeurs : botanique, anatomie et chimie.

Lithographie d'escargots. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa814c-lithographie-d-escargots

Lithographie d'escargots

Lithogaphie de Anton Seder, 1890, Jugendstil, Titre : "Coeur blessé et escargots". Anton Seder (1850–1916) fut professeur à l'école supérieure des arts décoratifs de Strasbourg. La volonté d’Anton Seder de concilier l'enseignement technique et l'enseignement artistique n'a rien d'original si on la replace dans le contexte européen de l'Art nouveau. Déjà exprimé par les ténors du mouvement des "Arts & Crafts", ce principe témoigne d'une volonté de créer une école tournée vers la modernité. Avant son arrivée à Strasbourg, Seder s'était en outre déjà fait connaître par la publication d'ouvrages d'ornementation comme Allégories et emblèmes (Allegorien und Embleme, 1882) et Les Plantes dans leurs applications à l’art et à l’industrie (Die Pflanze in Kunst und Gewerbe, 1887). Les idées de Seder se retrouvent dans les principes de l'enseignement de l'École des arts décoratifs et dans l'organisation de la scolarité. L'étude de la nature est au centre de la formation, car pour Seder "seul celui qui a été formé sur la base de l'étude de la nature serait capable de s'adapter aux changements d'orientation artistique et aux changements des goûts de son époque".

Maître d'école au Danemark en 1890. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e8ef08-maitre-d-ecole-au-danemark-en-1890

Maître d'école au Danemark en 1890

Maître d'école au Danemark en 1890 dans sa classe, avec six élèves garçons.

Matin dans une forêt de pins. Source : http://data.abuledu.org/URI/5138cd73-matin-dans-une-foret-de-pins

Matin dans une forêt de pins

Matin dans une forêt de pins, 1872, par le peintre russe Ivan Shishkin (1831–1898). Après avoir passé son enfance dans les régions sauvages de l'Oural et de la Volga, il étudia à l'École de Peinture, Sculpture et Architecture de Moscou pendant quatre années, puis à l'Académie impériale des Arts de Saint-Pétersbourg de 1856 à 1860, dont il sortit avec les plus grands honneurs et une médaille d'or. Cinq ans plus tard, Chichkine devint lui-même membre de cette Académie, puis professeur. Il était par ailleurs professeur à l'École supérieure des Arts, spécialisé dans les paysages.

Pelias et Jason. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d8dc43-pelias-et-jason

Pelias et Jason

Pelias et Jason, illustration de "La vengeance de Médée" in « Histoires extraites des tragédies grecques », par Alfred Church (1829-1912), professeur de latin et chercheur britannique (source : Projet Gutenberg). Dans la mythologie grecque, Médée (en grec ancien Μήδεια / Mếdeia, en latin Medea) est la fille d'Éétès, roi de Colchide. Elle est magicienne, comme sa tante Circé (ou sœur dans certaines traditions qui la font naître d'Hécate).

Pertes de l'armée française dans la campagne de Russie. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bf7a78-pertes-de-l-armee-francaise-dans-la-campagne-de-russie

Pertes de l'armée française dans la campagne de Russie

Carte figurative, 1869, des pertes successives en hommes de l'armée française dans la campagne de Russie 1812-1813 par Charles Minard suivant les mouvements de l'armée et la température sur le chemin du retour. Une représentation graphique de données statistiques ou visualisation de données statistiques est un résumé visuel des données chiffrées. Elle permet en un seul coup d'œil d'en saisir la tendance générale. Une des pionniers de l'usage moderne de la représentation graphique, semble avoir été Charles Joseph Minard, professeur puis super-intendant de l'école des Ponts et Chaussées, célèbre pour ses cartes figuratives et tableaux graphiques illustrant la campagne napoléonienne de Russie.

Portrait d'Alessandro Volta. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c26c2b-portrait-d-alessandro-volta

Portrait d'Alessandro Volta

Portrait d'Alessandro Giuseppe Antonio Anastasio Volta (1745-1827). Alessandro Volta fait ses études à Rome, et devient professeur de physique à l'école royale de Côme en 1774 ; il y met au point l'électrophore, première machine électrique à influence. Il étudie par ailleurs la composition du gaz des marais et isole, en 1778, le méthane. De 1780 à 1783, il visite la France, l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Angleterre et collabore avec Antoine Lavoisier et Pierre-Simon de Laplace à une étude de l'électricité atmosphérique. Au début de l'année 1800, Volta publie dans une lettre en français datée du 20 mars au président de la Royal Society l'invention de la pile voltaïque qu'il a mise au point le 17 mars 1800. Le 7 novembre 1801, Volta présente sa pile devant l'Institut de France et y énonce la loi des tensions, ainsi que la valeur des tensions de contact des métaux classés par ordre d'électropositivité décroissante, du zinc à l'argent. Napoléon Bonaparte, qui assiste à cette séance, lui fait décerner une médaille d'or, lui accorde une pension et, le nomme comte et sénateur du Royaume d'Italie (1805-1814). L'étude de l'électricité fut toujours sa passion et, encore jeune étudiant, il écrivit un poème directement en latin, De vi attractiva ignis electrici ac phaenomenis inde pendentibus, sur ce phénomène fascinant et nouveau. C'est son premier écrit scientifique.

Silhouette de château fort. Source : http://data.abuledu.org/URI/514e356b-silhouette-de-chateau-fort

Silhouette de château fort

Silhouette de château fort : Marksburg, en Rhénanie. Marksburg est un château surplombant la ville de Braubach en Rhénanie-Palatinat, en Allemagne. Il est situé sur la rive droite du Rhin, en amont de l'embouchure de la Moselle. Il s'agit du seul château médiéval du Haut-Rhin moyen qui n'ait jamais été détruit. C'est un des principaux sites repris au patrimoine mondial de l'UNESCO. En 1900, il fut acheté par une association œuvrant pour la protection des monuments historiques, l'Association des Châteaux allemands (en allemand : Deutsche Burgenvereinigung). Le professeur Bodo Ebhard, architecte et conseiller privé à la cour de l'Empereur Guillaume II, fut à l'initiative de cet achat. Le château fut remis en état dans les années qui suivirent. Il est actuellement le siège principal de cette association. La visite guidée permet de découvrir la vie dans un château médiéval.

Statue d'Einstein en Belgique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533bdf1f-statue-d-einstein-en-belgique

Statue d'Einstein en Belgique

Albert Einstein séjourne durant six mois à De Haan (Belgique) en 1933. Johnny Werbrouck crée une statue de bronze en 2006. Après un séjour aux États-Unis en tant que professeur invité, le physicien prix Nobel Albert Einstein débarqua à Anvers en mars 1933. Comme le NSDAP, le parti d'Adolf Hitler, venait de remporter les élections ce même mois, Einstein et sa femme décidèrent de ne pas rentrer en Allemagne et s'installèrent au Coq dans la partie gauche de la double villa Savoyarde, située au n° 5 de l'avenue Shakespeare. Plus tard, ses belles-filles Ilse et Margot, son assistant Walther Mayer et sa secrétaire Helen Dukas vinrent vivre avec eux. Einstein y recevra la visite de nombreux diplomates, politiciens, savants et artistes dont le peintre James Ensor avec lequel il se liera d'amitié. Sa tête ayant été mise à prix par les nazis et estimant donc la situation trop dangereuse, Einstein quitte Le Coq incognito pour l'Angleterre le 9 septembre 1933 avant de s'installer définitivement aux États-Unis en octobre de la même année. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Coq

Syndrome d'épuisement professionnel. Source : http://data.abuledu.org/URI/585f65bd-syndrome-d-epuisement-professionnel

Syndrome d'épuisement professionnel

Création personnelle pour illustrer l'article Syndrome d'épuisement professionnel sur la wikipédia en français, d'après les écrits du professeur Maslach dans son livre : "Maslach Burnout Inventory Manual" (nov. 1996), par Christina Maslach, Susan E. Jackson, Michael P. Leiter - Consulting Psychologists Pr.

Viscosité du bitume. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c40a77-viscosite-du-bitume

Viscosité du bitume

Expérience dite de la goutte de poix à l'Université de Queensland, démontrant la viscosité du bitume, en comparaison avec une batterie de 9 volts. La version la plus réputée de l'expérience a été démarrée en 1927 par le professeur Thomas Parnell de l'université du Queensland de Brisbane, en Australie, afin de démontrer à ses étudiants que certaines substances d'apparence solide sont en réalité des fluides de très haute viscosité. Parnell fait couler un échantillon de poix chaude dans un entonnoir bouché et le laisse reposer trois ans. En 1930, le bouchon du cou de l'entonnoir est coupé, de façon à ce que la poix puisse s'écouler. Une grosse goutte se forme alors, et tombe environ toutes les décennies. La huitième goutte est tombée le 28 novembre 2000, de sorte que les expérimentateurs ont pu estimer la viscosité de la poix à environ 230 milliards (2,3 × 1011) de fois celle de l'eau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_la_goutte_de_poix.